Actu : TPMP : Loana et Benjamin Castaldi reviennent sur la polémique autour de leur publicité (vidéo)

Le 22 juin dernier, une marque d’ameublement créait le buzz en dévoilant une publicitaire insolite pour un jacuzzi gonflable. Pour l’occasion, l’enseigne mettait en scène Benjamin Castaldi et Loana dans un spot qui reprenait la séquence culte de Jean-Édouard et l’ancienne candidate de télé-réalité dans l’émission “Loft Story”. L’idée ? Alors que l’animateur aide la jolie blonde à entrer dans le fameux jacuzzi, cette dernière se transforme instantanément en sublime jeune femme affublée d’un maillot de bain rouge comme Pamela Anderson dans la série “Alerte à Malibu”. Une façon pour Loana d’ironiser sur l’image qu’elle a pu avoir en sortant du “Loft” mais aussi de se moquer d’elle-même et de sa prise de poids. Pourtant, la publicité a provoqué la colère de certains internautes qui la jugent “sexiste” et “grossophobe”.

Loana s’exprime en direct dans TPMP

Sur Instagram, Loana a justifié sa démarche en postant un long message en dessous d’une photo d’elle et de Kelly, la comédienne qui a tourné avec elle la publicité. “Je déplore toutes ces polémiques (…) Le clip n’est en rien ni sexiste, ni ‘grossophobe’. Je ne porte en rien à l’atteinte de la femme et encore moins des personnes rondes. Juste un peu d’humour et de l’autodérision ME concernant et personne d’autre. (…) Quelle personne ayant perdu plus de 25 kilos, et en ayant subi des moqueries par rapport à l’esthétique durant des mois ne serait pas fière de pouvoir revenir en robe de bain (et faire un clin d’œil amusé sur une scène de son passé…)”, a-t-elle écrit sur le réseau social. Ce jeudi 29 juin, Loana a de nouveau pris la parole mais cette fois-ci sur le plateau de “Touche pas à mon poste”. Julien Courbet a appelé l’animatrice en direct, qui a expliqué pourquoi ce clip publicitaire n’était en aucun cas grossophobe. “C’est ‘Loanaphobe’ ! Je ne me moque que de moi-même et de personne d’autre !”, a-t-elle déclaré tandis que Benjamin Castaldi affirmait qu’il fallait le prendre “au second degré”.

Par Katia Rimbert