Actu : “Brigitte c’est moi et moi c’est elle”

“Brigitte c’est moi et moi c’est elle”

Elle écoute Vianney (lui, c’est plutôt Aznavour), arbore une silhouette d’ado (45 kilos pour 1,65 mètre en jean slim) et a eu l’honneur d’avoir un tee-shirt à son effigie chez Weekday, une marque H&M. Comme Beyoncé, mais en plus successfull. Jessica Chastain l'”adore”, tout comme Angela Merkel. Et si, contrairement à la chancelière allemande, elle n’a pas connu le “mur”, elle a dû le faire souvent pour gagner sa liberté. C’est la morale que nous délivre Maëlle Brun dans la biographie qu’elle consacre à notre “première dame” iconique, Brigitte Macron, l’affranchie (éd. L’Archipel, 17 janvier) : il n’est jamais trop tard pour devenir jeune.

Son premier mariage et la rencontre avec Emmanuel Macron

Dans sa biographie, Maëlle Brun raconte la jeunesse de la première dame, marquée par la mort de sa soeur alors qu’elle n’a que 8 ans. Puis son éducation chez les bonnes soeurs, son premier mariage en 1974, ses débuts comme enseignante à Truchtersheim, près de Strasbourg. Le lycée de La Providence à Amiens, enfin, où elle va rencontrer Emmanuel Macron. L’enseignante a 41 ans, elle anime le club de théâtre de l’école. L’élève, si brillant, a 17 ans quand l’idylle se confirme. La famille comme les amitiés sacrifiées auront été le prix de cet amour interdit.

Le parfum du scandale a passé. Demeure une femme qui affiche ses sentiments aux yeux du monde entier, plutôt que de les cacher. Quant à Emmanuel Macron, lorsqu’il n’écoute pas Aznavour, il explique le fonctionnement d’un couple au sommet : “Elle c’est moi et moi c’est elle.”

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